21 Janvier 2014
Le stage se poursuit jusqu'à vendredi. Nous avons attaqué les intensités. Le weekend dernier a été riche en podiums et performances pour le ski français. On a eu du mal a tout suivre. On a décalé quelques entrainements pour pouvoir regarder les épreuves. Nos fondeurs envoyés en Pologne avaient pour objectif de donner le meilleur pour aller chercher leur billet pour les JO (sprinteurs) et de rentrer dans les 30 premiers du 15km classique. Ils ont fait le job puisque l'année prochaine nous aurons 6 quotas d'athlète par course distance en Coupe du Monde. En effet, le nombre d'athlète par nation est déterminé par un système de quotas. Par exemple, pour avoir droit à 5 athlètes par course la saison S+1, il faut que dans la saison S, 6 athlètes différents marquent des points Coupe du Monde. Pour avoir 6 athlète la S+1, il faut 9 athlètes différents qui marquent des points Coupe du Monde la saison S. C'est notre cas et ce n'est jamais arrivé.
Pour les quotas au JO, c'est très compliqué. Il faut juste retenir que dans un souci d'égalité, le nombre de coureurs par nation est de 4 par course pour toutes les nations.
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Voilà presque une semaine que ce stage en chambre hypoxie a commencé ici, dans le Centre National de ski nordique et moyenne montagne (CNSNMM), à Prémanon. Je suis accompagné de Jean-Marc. Nous avons chacun notre chambre afin d'individualiser la prépa.
Nous avons des conditions de ski très correctes, on chausse les skis à quelques pas du bâtiment pour rejoindre la forêt du Massacre. Nous allons un peu dans le Risoux ou à La Vattay. On passe du beau temps, à la pluie puis la neige, températures douces puis froides.
Le corps s'adapte plutôt bien pour ce deuxième stage en chambre hypoxie après celui avant le début de saison. Le suivi avec Laurent Schmitt permet d'orienter le travail durant le stage.
A suivre
le ski de fond à haut-niveau : une passion, un état d'esprit, une rigueur, du plaisir
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