7 Juin 2007
Après cette première saison en catégorie sénior, je suis de plus en plus indépendant. Depuis mon entrée à l'université, je suis de moins en moins souvent au domicile familiale, j'ai une copine avec qui je partage des moments magnifiques, je me professionnalise dans mon sport ; en clair la gestion de ma vie est entre mes mains. Nous devons faire des choix, pour ma part certains sont fait depuis longtemps et les autres se précisent petit à petit.
Un sportif de haut niveau à pour but de progresser constamment. Il se doit d'avoir des objectifs, c'est la politique qui veut ça! Je n'ai jamais aimer me fixer des objectifs, ce n'est pas dans ma philosophie. Un objectif est toujours une source de pression et la pression n'a jamais fait gagner. Je veux juste aller le plus haut possible, voilà mon objectif ; la question n'est pas "quelle est cette hauteur ?" mais plutôt "comment franchir cette hauteur ?". Je pense qu'il ne doit pas y avoir de palier car il y a souvent une baisse derrière, mais plutôt une évolution continuelle. Pour ça il faut chercher, se poser les problèmes et non pas les contourner comme ça a tendance à trop se faire.
Un sportif de haut niveau se doit d'être sain. Supplémenter avec des compléments de l'industrie chimique, à court terme ça marche. Mais souvent l'effet ne dure pas longtemps et le corps devient dépendant. De plus, à long terme cela accumule les toxines qui s'évacuent moins bien, de même que la fatigue. C'est le cas de tous ces compléments de ces marques de diététique sportive bien connues que l'on vous propose dans les magazins de sports.
Complémenter avec des produits naturels qui utilisent les ressources que la Nature mets en notre possessions, permet une meilleure assimilation et une meilleure tolérance par notre corps. Il faut seulement être à l'écoute de son corps et être patient. Le bénéfice se ressent à plus long terme mais il est plus endurant. Vous allez me dire que les compléments Bio reviennent plus cher, c'est faux, il sont juste plus sains.
Mon partenariat avec Weleda n'est pas un hasard, mais bien un choix qui affirme clairement que je pratiquerais le haut niveau dans la voie du respect de l'environnement et de mon corps. Malgré tout je suis loin d'être un exemple avec le nombre de kilomètre en voiture que je fais, mais mes convictions sont là. Les solutions existent, à nous de les engager.
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le ski de fond à haut-niveau : une passion, un état d'esprit, une rigueur, du plaisir
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